L’extension est réalisée comme une articulation simple de couleur blanche aux volumes minimalistes, une pièce retrouvée qui offre une nouvelle identité à la maison. Elle s’installe entre les différents volumes existants en respectant au maximum les hauteurs et les pentes des constructions existantes ce qui lui donne un caractère atypique.
L’extension est construite en ossature bois, cela apporte légèreté, facilité de mise en œuvre et garantit un chantier propre et rapide.

Les façades reçoivent un parement en enduit clair et les toitures reçoivent un revêtement en membrane claire. Les eaux de pluie sont récupérées par un chéneau central.

Le groupe scolaire Henri Wallon se situe à Villiers-le-Bel à la lisière entre urbanité et ruralité avec d’un côté la ville en renouvellement et de l’autre le grand paysage agricole. L’école proposée est créée comme « un lopin de terre ».

Un bâtiment paysager conçu comme un « morceau de nature ». Un petit champ issu de ce paysage agricole et maraicher, qui s’esquisse comme un morceau de paysage extrudé venant offrir un nouvel horizon à ce quartier.

La famille grandit et la maison a besoin d’une pièce en plus. Il s’agit de traiter d’une entrée, d’un salon, d’un bureau, de plusieurs chambres, d’une salle d’eau et d’une salle de jeux. L’idée est de créer une cabane en bois perchée sur cette maison de brique. Les parents étant de l’autre côté, la surélévation est la maison des enfants. C’est un espace lumineux et ludique.

L’entrée est retravaillée, à la façon du « genkan » japonais, un espace de transition est créé entre le rue et la maison. L’escalier servant de tronc d’arbre pour la cabane est en réalité un grand rangement pour toute la famille. Cet escalier est accompagné de filets blancs afin d’ouvrir l’espace et laisser l’air et la lumière circuler librement.

La maison est construite en bois, ce dernier apporte : légèreté, facilité de mise en œuvre, il permet la préfabrication ce qui garantit des coûts et des temps de chantier réduits, tout en contribuant à renforcer l’esprit cabane de la maison. La partie perchée au R+2 est vêtue de baliveaux de Châtaignier, issue des forêts les plus proches et rappelant l’univers des cahutes et de cabanes rudimentaires.

Des transparences à travers ces baliveaux sont créées au niveau de l’escalier et de la salle de jeux permettant à l’air et à la lumière de se diffuser. La nuit on peut entre-apercevoir la vie de la cabane on observe des jeux de lumière et de transparence. La toiture métallique, simple, termine le dispositif et gère l’étanchéité.

Le cabinet de sages-femmes se trouve au rez-de-chaussée d’un immeuble résidentiel. La configuration spatiale créée, avec les deux bureaux dos à dos d’un côté et la salle de préparation à la naissance de l’autre. Une circulation lumineuse guide les visiteurs jusqu’à la zone d’attente, qui dessert les trois pièces.

Le design du projet s’inspire des normes de construction de l’ensemble immobilier, notamment en utilisant une couleur gris beige givrée pour la façade. Cette esthétique s’intègre à l’environnement environnant, créant un cabinet de sages-femmes fonctionnel et accueillant.

Dans ce contexte où la hauteur sous poutre intérieure est limitée, une décision esthétique a été prise afin de souligner la beauté brute du béton de la construction, l’accompagnant avec élégance à l’aide de bois de Chêne clair pour le sol et le mobilier.

Une série de voilages, segmentent subtilement les espaces jusqu’à atteindre la façade. Celle-ci se replie gracieusement vers l’intérieur du local, épousant ainsi la séquence d’entrée et scellant avec délicatesse la salle de préparation à la naissance où les séances de yoga pré et post-natal se déroulent en toute intimité. Dans cette enceinte, un verre strié, diffuse la lumière, créant un filtre subtil qui préserve l’intimité tout en apportant une douce clarté propice à l’épanouissement.

Evi Evane, revisite une cuisine traditionnels de différentes régions de Grèce. Cette épicerie traiteur est située rue Condorcet dans le 9^e arrondissement à Paris. La démarche de conception s’inspire de principes vernaculaire grec dans un cadre moderne.

La façade, composée d’une mosaïque aux tons azur, vert et doré, a été préservée et agrémentée d’une façade en bois, de portes, de volets et de claustras. L’aménagement intérieur est fonctionnel et comprend une vitrine en façade, un comptoir et un espace personnel. L’utilisation du bois, des arches, de textures et des patines variées structurent l’espace et donne une sensation d’extérieur aux espaces intérieur.

L’appartement situé sur les hauteurs de Nice profite d’une vue dégagée sur la Baie des Anges. Le plan datant des années soixante à été revu afin de fluidifier les usages, réorienter les vues, diffuser air et lumière et l’adapter aux modes de vie actuels. L’espace d’entrée a été remanié, la cuisine entièrement revisitée et les couloirs ont laissé place à un bureau.

Les menuiseries laiton ainsi que les sols existants pierre et Chêne ont été conservés et accompagnés avec un travail de menuiserie intérieure mariant Chêne clair, laque blanche et résine. Tout le mobilier intégré à l’architecture a été réalisé sur mesure afin de maximiser les espaces de rangements et de répondre parfaitement aux besoins de ses utilisateurs.

C’est une grande maison qui se dévoile peu et qui bénéficie d’un jardin à l’arrière. Le projet s’organise autour de deux axes, créant un signal sur l’allée et une ouverture sur le jardin.

Ce projet de transformation, extension et surélévation, accompagne une nouvelle étape dans la vie de la famille, il offre la possibilité de redistribuer les espaces existants tout en ajoutant les nouvelles qualités d’usages souhaités afin d’améliorer le quotidien de ses habitants.

La surélévation et l’extension sont construites en ossature bois pour des questions de mise en œuvre et de légèreté. Les toitures sont en charpente bois, l’isolation est réalisée en ouate de cellulose insufflée et les façades sont vêtues de bois. Elles reçoivent un bardage bois avec plusieurs profils créant un rythme singulier.

Ce pied à terre de 38m² est une rénovation d’un appartement Parisien du 14^e arrondissement. Cet appartement profite d’une belle lumière et d’une vue dégagée en hauteur. Le plan d’origine a été entièrement remanié dans le but d’agrandir la pièce de vie et de diffuser au maximum la lumière naturelle en profondeur dans l’appartement.

Un espace en U s’organise alors autour de la chambre qui s’intègre dans un mur mobilier ouvrant à la fois vers la chambre et vers la pièce de vie pour maximiser les espaces de rangements. La chambre profite d’une grande verrière toute hauteur pour bénéficier de la lumière naturelle et pour préserver un certain niveau d’intimité.

Un grand sol en bois de Chêne a été réalisé sur l’ensemble de l’appartement. Ce sol en bois se relève pour réaliser des cimaises le long des deux murs porteurs. La cuisine ouverte et blanche est intégrée à l’architecture comme le mobilier de l’entrée, de la chambre et des pièces de vie. Des miroirs toute hauteur sont installés dans l’entrée et dans la chambre afin d’accentuer la diffusion de lumière et agrandir la sensation de profondeur de l’appartement. Deux lignes de rideaux et de voilages accompagnent la progression d’intimité dans l’appartement depuis les baies vitrées de la façade jusqu’à la verrière de la chambre.

La maison est située dans un quartier pavillonnaire de L’Hay-les-Roses. L’objectif de la réhabilitation est d’ouvrir de petits volumes sombres et clos afin que l’air et la lumière puissent y circuler librement.

Le projet réarticule le rez-de-chaussée et l’étage en ouvrant des murs et en libérant les façades afin de créer de nouveaux espaces plus contemporains dans une cohérence esthétique globale. Une série de mobiliers intégrés vient accueillir les nouveaux espaces et propose des séquences entre les pièces, ainsi les espaces sont en continuité les uns des autres mais se dévoilent petit à petit.

La parcelle est située à Neuilly-Plaisance, la maison est composée de plusieurs entités : la maison principale, la maison secondaire, la dépendance et l’annexe. Le projet de restructuration consiste à créer une extension pour réarticuler les différents volumes existants afin d’améliorer le quotidien de la famille dans une écriture architecturale contemporaine.

La surface créée est de 20m² d’emprise au sol. Cette surface articule la maison secondaire avec la dépendance et l’annexe. Elle vient offrir une nouvelle façade à la maison avec une porte d’entrée et de grands châssis ouvrant les pièces vers le jardin dont la maison ne profitait pas auparavant.

À l’intérieur sont créés : une entrée, un sanitaire, une salle d’eau, le bureau et le séjour sont agrandis.